Le suivi de la consommation d’espace est complexe, car les différents concepts à l’oeuvre (consommation d’espace, artificialisation, étalement urbain, etc.) recouvrent des réalités différentes, d’où l’hétérogénéité des valeurs selon les sources consultées. Le phénomène de la consommation d’espace ne peut donc se comprendre qu’à l’aide de plusieurs sources de données complémentaires. Les évolutions constatées par les différentes sources sont en revanche assez homogènes et permettent de suivre le rythme de la consommation d’espace.

Sources :

• Teruti Lucas, enquête statistique relative à l’utilisation du territoire, réalisée à partir d’un échantillon de points, ministère de l’agriculture et de l’alimentation ;
• fichiers fonciers Majic 2006 à 2015, mise à jour des informations cadastrales, direction générale des finances publiques (DGFiP) ;
• recensement de la population de 2009 à 2014, Insee ;
• plan cadastral informatisé 2012, DGFiP ;
• Sitadel 1990 à 2016, système d’information et de traitement automatisé des données élémentaires sur les logements et les locaux, ministère de la transition écologique et solidaire ;
• Filocom 1999 à 2015, fichier des logements par communes, DGFiP.

Indicateurs :

• 2.1.1 Part des surfaces artificialisées
• 2.1.2 Étalement urbain
• 2.1.3 Taille moyenne des parcelles des logements
• 3.4.1 Part des surfaces artificialisées dans la bande littorale