Une connaissance en progression sur le volet quantitatif de la ressource en eau souterraine

publié le 7 mars 2016 (modifié le 22 mars 2017)

Pour la période 2012-2013, l’état quantitatif des eaux souterraines est généralement bon pour la grande majorité des masses d’eau.

Accès direct

Il faut cependant mentionner des exceptions :

  • la nappe libre du Dogger du sud vendéen alimentant en partie le Marais poitevin ;
  • des masses d’eau rattachées à la nappe du Cénomanien, vaste aquifère inscrit au schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Loire-Bretagne comme réserve future pour l’alimentation en eau potable.

Il faut souligner l’hétérogénéité de la connaissance sur la quantité et la capacité de stockage des nappes par rapport aux usages, plus particulièrement en secteur géologique de socle.

Toutefois, la connaissance s’améliore progressivement avec :

  • le développement du réseau de suivi quantitatif dans le cadre de la directive cadre sur l’eau (DCE) ;
  • le suivi renforcé sur les secteurs à enjeux (Marais poitevin et nappe du Cénomanien) ;
  • les travaux entrepris dans le cadre de la définition des aires d’alimentation des captages (voir la rubrique « Vers une protection renforcée des captages pour l’alimentation en eau potable ») ;
  • les études et recherches menées par divers opérateurs, tels le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), le Centre de géosciences de l’université de Rennes, divers bureaux d’études travaillant dans le cadre des schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE).

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