La séquestration de carbone issue de la gestion de la biomasse
publié le 7 mars 2016 (modifié le 22 mars 2017)
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En effet si certaines activités sylvicoles (notamment le brûlage des résidus) contribuent à émettre des gaz à effet de serre, l’accroissement de la biomasse permet de stocker du dioxyde de carbone. C’est ce qu’on appelle les puits de carbone. C’est une question qui reste encore difficile à quantifier.
En Pays de Loire, le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique (CITEPA) estime dans son rapport de 2010 que la gestion des terres et des forêts contribue à la séquestration d’un peu plus d’un million de teq CO2, ce qui représente environ 3% des émissions totales régionales.