Préserver et développer la nature dans les espaces urbanisés

publié le 7 mars 2016 (modifié le 14 février 2018)

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Préserver et développer la nature dans les espaces urbanisés :

  • pour sa contribution, au cadre de vie et à la santé des habitants, à la biodiversité et à la trame verte et bleue, à la régulation du cycle de l’eau, à la régulation thermique de la ville ;
  • en faisant participer les habitants et les acteurs économiques.

Une ville plus compacte et plus dense n’est pas nécessairement synonyme d’une ville plus minérale. La nature doit, et peut, trouver sa place dans les formes urbaines plus denses, tant dans les espaces publics que dans les espaces privatifs. De la forme du bâti, dépend aussi des habitats propices aux espèces.

C’est un enjeu majeur pour le cadre et la qualité de vie des habitants, ainsi que pour la contribution à la préservation de la biodiversité, la nature urbaine n’ayant pas qu’une fonction esthétique. Cela peut aussi contribuer à la régulation du cycle de l’eau en ville ou à la régulation thermique ; des fonctions dont l’intérêt ira croissant avec la perspective du changement climatique.

Si les collectivités, qui aménagent les espaces publics et édictent les règles d’urbanisme, sont les acteurs majeurs de la préservation de la nature dans la ville, les citoyens et les entreprises peuvent aussi s’impliquer dans l’aménagement et l’entretien de leurs jardins ou espaces verts.

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